Luc Rémy me parlait d’Armand Silvestre et me disait que nous devrions aller le voir sur sa colline, à Liège.

Né en 1921, il avait expérimenté dans sa peinture des styles bien différents : cubisme, expressionnisme, surréalisme. Chirico le marque beaucoup. Il évolue vers une peinture qu’il qualifie de “métaphysique”.

Et puis les cultures orientales, le chan, notamment, le passionnent.

Nous l’avons finalement rencontré en compagnie de Luc et de Régine Denooz avec qui nous préparions le MaYaK2 ; elle aux commandes de la mise en page (comme elle avait déjà fait le premier site mayaque).

Le végétal, c’est le thème de votre numéro ? Et Armand Silvestre de nous confier une farde de dessins où l’on reconnaissait les souffles qui animent la nature, les énergies circulatoires du végétal !

C’était début 2007. Le numéro sortirait en automne et Armand nous quitterait un peu plus tard…