C’est le compagnon des débuts… Depuis 2003 !

Prof à l’ERG, cofondateur de Graphoui, dessinateur, cinéaste d’animation et autre !

Depuis le premier MaYaK, Jacques exprime l’humour mayaque, la mise à distance, l’intention qui laisse place aux éclats lumineux du hasard (Pfiou, commenterait-il).

Un long cahier dans le 2 sur les personnes qui nagent en eau froide (se coltinent à un élément inconnu, attitude mayaque). Une enquête sur les constructions parasismiques au Maroc, mais personne ne peut renseigner l’audacieux reporter qui se perd dans des visions (M3)… Visite avortée du Musée Langen (fermé comme tous les lundis) mais autre chose apparaît au visiteur déçu… C’était dans le 4.

Dans le 5, un pari fou : commencer à lire ce MaYaK5 (solitudes en société), un premier vendredi du mois en un lieu choisi au hasard sur une mappemonde : paf, il tombe sur Dakar, y va, mais… De détours en déconvenues, Jacques se résigne à mettre une innocente annonce de vente dans le MaYaK6 : pour sa caravane devenue “centre de documention (sic) mayaque” … Il ne trouvera pas d’acquéreur et entre-temps une tempête et un arbre écrabouilleront ce centre tractable.

Il faut dire que, dès les premières rencontres, Jacques oubliait à quoi il songeait quand il craignait de ne pas être à la hauteur de la tâche mayaque (voir planches ci-dessous)…

Jacques a cassé sa plume… Ne vous inquiétez pas il vit toujours très bien mais cette plume dont il connaissait la douceur de si près ne se fabrique plus… Donc plus de dessins à la plume de Jacques (depuis le M7), mais reste un dialogue constant autour des projets nouveaux de Phare Papier.

Jacques avait créé début du XXIe une cellule d’édition Pontos, elle s’est métamorphosée en Koalath. Nous en reparlerons !