J’ai invité Jean-Claude Pirotte en 1997 à Bratislava, dans un cycle de conférences : l’écriture et la vie. S’ensuivit une semaine de déambulations dans les rues de la capitale slovaque (de nuit). Et quelques excursions dans les environs encore sauvages.
Et puis l’aventure Dhôtel, écrivain qu’il me fit connaître en profondeur.
Puis des projets depuis le M1 (2006) auquel il a participé.
“Peintre du dimanche, écrivain du samedi”, se disait-il.
Il peignit des phares pour MaYaK et accompagna un texte que j’ai écrit sur Bruxelles. HR