Depuis 2012, le GE! voyage au Burkina Faso et récolte des témoignages émanant d’acteurs du « développement endogène » (et agroécologique) : personnalités représentants d’associations ou d’ONG.
En photo mise en avant : le président Thomas Sankara et le musicien Fela Ransome Kuti, au FESPACO 1987. Photo d’Herman Bertiau, avec sa permission.
Nous publierons progressivement des extraits d’entretien…
1 ABDOULAYE OUÉDRAOGO
Il nous faisait visiter en novembre 2016 le centre agroécologique d’expérimentations et de formations de Bissiga (près de Ziniaré). Un centre mis en place par l’ONG qu’il a créée en 1998, (APIL : action pour la promotion des initiatives locales : agriculture, maraîchage, apiculture, élevage, bien-être animal, agroforesterie, défense des cultures traditionnelles. 240 villages (et bien plus depuis les déplacements de populations), 110 travailleurs) en collaboration avec les villageois, dans une optique d’échanges de savoirs…
2 ALI DE GOAMMA TAPSOBA
« Activiste des droits humains », Ali de Goamma Tapsoba présente ses multiples facettes dans un premier extrait ci-dessous, enregistré dans la cour de l’ONG Napam Beogo, à Ouagadougou, en février 2019. Le deuxième extraits : il exprime ce qu’est le village pour lui…
3 BERNARD LÉDÉA OUÉDRAOGO
Le fondateur des « Groupements Naam », dans le Yatenga, le plateau Mossé très aride.
Dans le Yatenga, presque un dieu, me disait en 2011, EMMANUEL LALSOMDÉ, ancien conseiller économique à l’ambassade du Burkina Faso à Bruxelles… Nous avons eu la chance de le rencontrer en 2012, au cœur du complexe Naam, à Ouahigouya…
Un extrait où il parle du paysan, qui « est tout » : en pleine résonance avec la lettre aux paysans de Giono, dans notre « Bibliothèque » (pdf téléchargeable).
À noter que l’entretien, en entier, a été intégré au livre Nous progressons, et à l’Anthologie du développement endogène. Voir notre « boutique ».