C’était en 2012, un premier voyage au Burkina Faso. Rencontrer des acteurs du développement endogène, associations, ONG, personnalités ; commencer des contacts avec un village.
Je voulais rencontrer le chanteur Victor Démé dont la sensibilité, la générosité et l’art me touchent très fort. Avec Nafissatou Ouedraogo, nous sommes allés le voir à Bobo Dioulasso, chez lui. Il préparait son troisième album qui sortit après sa mort.
C’était le 21 janvier 2012 ; il répétait chez lui avec son bassiste ISSOUF DRAMÉ…
Le son n’est pas des meilleurs, mais le témoignage est émouvant…